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bienvenue sur le blog de la 2ème année sciences de l’éducation de l’ucao uuba quelques implications de l’utilisation des tic en éducation classé dans : non classé — 1 décembre, 2009 @ 12:14 en ce qui concerne les implications de l’utilisation des tic en éducation, on pourrait faire une longue liste… nous nous contenterons d’un survol. le coût: acquisition du matériel et logiciels frais d’installation: aménagements de locaux, câblage, système de sécurité… frais d’exploitation: maintenance, support aux utilisateurs, frais de réseau… frais de formation des utilisateurs… renouvellement des appareils et logiciels… l’apprentissage : apprendre à utiliser les tic demande du temps et ça semble bien compliqué – à qui de l’investir (payer pour): les écoles, les enseignants…? même si leur usage semble de plus en plus convivial, de nouvelles fonctions et de nouvelles applications exigent une formation continue-est-il bien nécessaire d’être toujours à la fine pointe de la technologie? « mes jeunes en savent plus que moi! » – l’enseignant craint-il de « perdre la face »? l’enseignant ne doit pas craindre que ses élèves connaissent des applications ou des fonctions de certains logiciels ne lui-même ne maîtrise pas un nouveau paradigme en éducation dans le cadre d’un système d’enseignement centré sur l’apprentissage et non sur l’enseignement : les tic apportent de puissants outils à la mise en œuvre de ce nouveau paradigme, ouvrant de multiples possibilités relatives au traitement de l’information, l’expérimentation, la création, l’expression, la simulation, le jeu, etc. les jeunes aiment utiliser les technologies, de façon générale, et elles sont très répandues dans les foyers. et ils se les approprient très rapidement spécifiquement, la réforme identifie l’utilisation et l’exploitation des tic comme une compétence fondamentale à acquérir la disponibilité d’applications éducatives: pour le pré-scolaire et le primaire, il existe une certaine quantité de matériel bien adapté (cédéroms éducatifs), pour les autres niveaux, c’est moins évident si on parle des sites web, il y en a, mais encore faut-il les trouver, et finalement, ils ne répondent pas toujours à ce que l’on aimerait avoir quelques considérations quant à leur utilisation: faut réserver les labos ou les équipements longtemps à l’avance; les jeunes ont l’impression d’avoir une période « d’informatique »… est ce bien le cas? le tle-1030, par exemple, est-il un cours d’ »informatique »? si on va au « labo »: ça prend du temps à s’y rendre, s’y installer, ouvrir les appareils, les logiciels, refermer tout ça après et retourner en classe… finalement, il ne reste pas tellement de temps pour apprendre ; superviser 25-30 jeunes à l’ordi avec accès à internet en même, c’est de l’ouvrage… (« ils ne pensent qu’à « chater »… il y en a toujours un qui se retrouve sur un site « non-recommandable »"…) une autre possibilité: avoir un ou quelques ordinateurs branchés en classe – cette approche est plus facile d’exploitation au pré-scolaire/ primaire prévoir un plan « b » (en cas de panne): et si ça ne fonctionne pas (le réseau est en panne? il se produit une erreur dans le système? il y a une incompatibilité entre les logiciels utilisés à la maison pour produire mon matériel et ceux de l’école?…) – il y a comme des précautions à prendre… en favorisant l’utilisation des tic pour l’apprentissage, jusqu’à quel point les écoles préparent-elles bien les jeunes à la société dans laquelle ils œuvreront demain? le support de la direction et un noyau de passionnés dans l’école seraient des conditions plutôt incontournables à une exploitation réussie des tic en classe les dangers des tic (risques): « ils en font assez chez eux, en classe ils ont besoin de contacts humains » « il y a un danger d’isolement avec les ordinateurs et internet » « chercher dans internet, ça prend du temps et on tombe sur des références trop nombreuses et non-pertinentes » « avec le « chat » (clavardage), ils ne savent plus écrire leur français » « ils remettent des travaux faits par copier-coller (tricherie) » « les « virus »: on peut voir s’envoler en fumée (est-ce bien en « fumée »?…) le fruit de nos efforts… oups… les données numériques, ça se protège… » « le vol d’identité personnelle: ça concerne davantage les plus vieux, »mais c’est bien réel » « le risque de contacts non-recommandables (pédophiles, terroristes…) » « on se laisse impressionner par la « vitrine », l’aspect attrayant et »captivant (la forme), et on néglige le fond » les « promesses » des tic en éducation: « impact sur la motivation: la vaste majorité des jeunes vont aimer » « aller à l’ordi », au moins plus que d’avoir un cours (entendre ici: » »cours magistral » – magister = maître…). questions: les cours doivent ils être exclusivement ou « magistraux » ou « à l’ordi »? qu’est-ce qui attire tant les jeunes dans l’utilisation des tic en classe? de puissants outils pour la réalisation des projets l une démarche plus personnelle, adaptée aux besoins une expérience d’apprentissage plus active une responsabilisation plus grande de l’apprenant face à sa démarche et à ses résultats un accès plus rapide à des outils, des informations, des collaborateurs, des experts… des outils ultra-performants possibilité d’apprendre à distance, avec le support du prof et des collègues pas de commentaire -- caractéristiques générales des tic classé dans : non classé — 1 décembre, 2009 @ 12:11 caractérisons d’abord les tic comme phénomène général: plus: les tic nous apportent des moyens nouveaux en plus de ceux que nous avions déjà; de nouveaux moyens de communiquer, de s’exprimer, de créer, de travailler, d’apprendre; et ce phénomène se perpétue à une vitesse qui semble toujours aller en s’accélérant plus vite: ce que l’on pouvait faire avant sans les tic, on peut le faire dorénavant beaucoup plus rapidement avec les tic, et encore toujours de plus en plus rapidement plus petit: la miniaturisation est une caractéristique importante des tic; cela se manifeste tant au niveau des appareils que des supports d’information, par exemple plus abordable (coût, convivialité): le coût de l’acquisition et de l’utilisation des tic est, semble-t-il, constamment à la baisse pour un niveau d’utilisation donné, ce qui les rend accessible à une partie toujours croissante de la population, donnant ainsi à chacun des moyens puissants (démocratisation des médias); leur utilisation est également, pour la plupart, de plus en plus aisée, ce qui en facilite évidemment l’expansion plus puissant, plus grand: les possibilités des outils tic (appareils et logiciels) va constamment en s’accroissant, permettant un maximum d’effet, d’ »output ». the medium is the message (marshall mcluhan) la télévision a chambardé les habitudes de vie. d’une certaine façon, on peut dire que la révolution industrielle, le téléphone, l’automobile et autres inventions, l’ont fait également auparavant. l’expression de mcluhan vient nous rappeler que, au-delà de la fonction, de l’utilisation possible, des technologies, il faut considérer leur impact culturel, les changements qu’elles apportent ou qu’elles provoquent dans nos façons de vivre (travailler, communiquer, apprendre, se divertir…). à cet égard, les tic ont un impact puissant sur nos vies, en nous propulsant toujours plus avant dans ce que l’on appelle « la révolution de l’information », qui fait suite à deux autres grandes révolutions dans l’histoire de l’humanité: la révolution agraire (l’humain apprend à tirer profit de l’agriculture, sédentarité) et la révolution industrielle (la machine, urbanisation…). les tic ne sont donc pas un phénomène comme un autre. et il faut apprendre à gérer leur exploitation. pas de commentaire -- caractéristiques générales des tic classé dans : non classé — 1 décembre, 2009 @ 12:07 caractérisons d’abord les tic comme phénomène général: plus : les tic nous apportent des moyens nouveaux en plus de ceux que nous avions déjà; de nouveaux moyens de communiquer, d